Jean-Paul, 46 ans :

Voilà 20 ans que je souffrais de rhinites chroniques et d’angoisses récurrentes. La médecine m’avait soulagé passagèrement des symptômes pénibles, mais ni les traitements de fond à base d’homéopathie, ni l’acupuncture n’avaient vraiment amélioré ma qualité de vie. Sur ce, au milieu de la quarantaine, j’ai commencé à rencontrer des difficultés professionnelles : conflits mal supportés, angoisses fortes, manque d’énergie, agacements répétés, questions inquiétantes sur mon avenir professionnel… Certes, ma foi ancrée dans la prière me soutenait, mais j’ai cherché également des moyens humains pour m’en sortir. C’est ma femme qui m’a parlé de la thérapie Vittoz. Et je me suis lancé. Un an après, très progressivement certes, je me reconstruis. Je redécouvre l’utilisation et le plaisir de mes sens. Je me suis aperçu que je ne sentais plus mes pieds : même lorsque je faisais mon footing, je ne sentais pas mon corps que je ne respectais donc pas et qui savait me le dire après ! Je vivais trop projeté dans les soucis du futur : je ne savais pas apprécier la vie. Je redécouvre le goût des choses, le plaisir de vivre les choses simples dans le présent. Je revisite petit à petit mon histoire personnelle qui éclaire ce que je suis, ce que je peux et surtout ce qui ne me convient pas. Ma seule volonté ne peut plus écraser ce que je pouvais encore forcer dans ma nature avec l’énergie de ma jeunesse. Et puis ma relation aux autres aussi s’apaise et s’améliore. Enfin, je reprends conscience de mes émotions négatives, je les accepte et, du coup, je les vis beaucoup mieux. À travers les exercices Vittoz simples, un nouvel équilibre se remet progressivement en place. Je vis plus sereinement, plus paisiblement. Et ceci durablement.