Marie, 60 ans :
Il y a 6 ans, l’ablation de kystes sur les nerfs au niveau du sacrum a amené de telles douleurs que je vivais allongée, ayant cessé toute activité. Les médecins ne savaient plus quoi faire de moi et j’eu le sentiment d’être abandonnée. C’est alors que je me suis tournée, grâce à une amie, vers le Vittoz et l’ostéopathie. Là je devins actrice, j’agissais : je fis beaucoup d’exercices et progressai dans la gestion de la douleur. Je commençais à ne plus subir mais à regarder ma souffrance en face : je cherchais à « vivre avec » au lieu d’absorber des drogues pour faire comme si elle n’existait pas. Puis je compris que la souffrance peut avoir une signification autre que simplement physique ; que « psychosomatique » ne veut pas dire « maladie inexistante ». En fait mon corps souffre et mon psychisme aussi. Très progressivement grâce à ma thérapeute Vittoz, j’ai commencé à comprendre, à réaliser et à accepter. Petit à petit j’ai pu lâcher les calmants et reprendre une vie sociale. La douleur a baissé et j’ai maintenant une vie presque normale. Si j’ai encore mal, cela n’a rien à voir avec ce que cela a été. Le Vittoz m’a aidée à grandir en étant écoutée, accompagnée, et surtout en participant à cette guérison.