Florence, 33 ans :
« Après la naissance de mes enfants, j’ai senti que je ne pouvais pas tout maîtriser et je suis devenue très tendue. J’étais trop impulsive, ne sachant pas me poser, voulant tout en même temps : toujours en train d’anticiper, de me projeter dans tout ce que j’avais à faire de façon épuisante. La méthode Vittoz m’a aidée à prendre conscience de certaines de mes limites et de beaucoup de manques. Elle m’aide à être plus présente aux choses, aux personnes, à prendre plus de recul dans beaucoup de situations et également à réajuster ou à éviter certains actes ou paroles excessifs. Je regarde mes enfants avec plus de confiance, et je trouve toujours quelques fleurs à mettre dans mon bouquet quotidien ! »
Adrien, 18 ans :
« Avec le Vittoz, j’ai appris à me calmer et à accepter plus facilement les choses et les gens qui m’entourent. J’ai compris que tout ne peut pas être tout blanc ou tout noir, mais que le gris est une couleur qui existe. Aujourd’hui je vois la vie du bon côté, je suis heureux et cela fait très longtemps que je n’avais pas employé ce mot. Les autres personnes que j’avais vues avant, me donnaient, pour me relaxer, des « trucs » que j’oubliais à la minute même où je sortais de leur bureau. Alors que là, j’ai gardé les schémas dont deux en particulier : le signe de l’infini qui me détend en DS (devoir surveillé) et la rosace que j’utilise quasiment tous les soirs pour m’endormir. » (En Vittoz nous nous entraînons à tracer certains graphiques pour leurs vertus équilibrantes, calmantes, dynamisantes, structurantes…)
Quand les circuits ne sont pas créés ou encombrés, comment les (re)construire ? Comment se (re)construire ?
Ici 2 patients nous racontent :